Après plus de 10 années passées sur le même site, la section locale (86) du NPA a décidé qu’il fallait désormais moderniser ses outils web, et notamment son site.
Face à des difficultés techniques, nous ne sommes pas en mesure de rapatrier l’ensemble de l’ancien site sur celui-ci : c’est un grand problème puisque le site npa86.org regorge d’articles, de tracts, d’archives. C’est un lieu connu et reconnu de l’histoire politique poitevine. C’est pourquoi nous avons créé un onglet « Archives » sur ce site, de manière à renvoyer les lecteurs/trices qui le souhaitent sur l’ancien site.
Toutefois, il faut savoir tourner une page. Et nous le faisons. Pas par rejet du passé, mais par espoir en l’avenir. Internet est aujourd’hui un outil essentiel pour les militant/es que nous sommes et nous devons nous donner les moyens d’être efficaces.
Aussi, sur ce nouveau site, nous Permettons à nos lecteurs/trices de réagir, via les commentaires. Nous nous y étions refusés jusqu’à maintenant car les possibilités techniques étaient peu évidentes. Le fait de donner le moyens de commenter est pour nous liée à l’envie de débats à gauche qui nous anime. Nous ne modérerons pas les messages critiques mais nous supprimerons systématiquement les commentaires racistes, homophobes, sexistes, glotophobes, grossophobes… bref, les commentaires discriminants.
Outre un lieu de débat dans les commentaires, notre site reste également un lieu où les contributions, se plaçant sur le terrain de l’émancipation, sont les bienvenues. Nous continuerons aussi de relayer les luttes qui nous tiennent à cœur dans le domaine de l’écologie, du social, du féminisme, de l’antiracisme…
Un lieu ouvert, à l’image de l’anticapitalisme que nous portons : c’est à dire qui assume ses idées radicales, révolutionnaires, mais qui cherche, systématiquement à unifier les forces militantes plutôt qu’à les diviser. Un anticapitalisme qui refuse les compromissions électoralistes mais qui met toutes ses forces pour l’unité dans les luttes. Sur ce site, à l’image de notre politique, nous assumerons notre politique et permettrons aux divergences de s’exprimer. Il en est de notre vision de la démocratie.
À vos claviers, donc ! Mais surtout, à bientôt dans la rue, car rien ne remplace le travail de terrain quotidien !